« grande » |
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41 - Arabes -
Le Pen a passé une petite annonce pour engager un homme à tout faire.
Un arabe se présente, qui lui sort tout un baratin comme quoi, avoir un arabe
docile à son service ferait beaucoup pour son image de marque.
Le Pen le regarde d'un oeil, lui dit finalement 'Pourquoi pas ?', et il lui fait
faire le tour du domaine...
Il l'emmène d'abord à la cuisine, immense. L'ARABE (sifflement admiratif) : Que
c'est grand, que c'est beau !
Ensuite, c'est le salon, immense avec des meubles de prix. L'ARABE (sifflement
admiratif) : Que c'est grand, que c'est beau ! (on peut varier bien sur, je
donne que les grandes lignes...)
Puis la chambre, avec un lit immense. L'ARABE (sifflement admiratif) : Que c'est
grand, que c'est beau !
... Puis la terrasse, avec une piscine, immense aussi. L'ARABE (sifflement
admiratif) : Que c'est grand, que c'est beau ! Quelle piscine ! ça donne envie
de se baigner !
Le Pen lui fait son célèbre sourire carnassier : 'mais va te baigner mon garçon,
je t'en prie !'
L'arabe va se changer, pendant que Le Pen met un crocodile dans la piscine.
L'arabe revient en slip, voit la piscine et le crocodile dedans.
L'ARABE (sifflement admiratif) : Dis donc ! Une Lacoste !
Un arabe se présente, qui lui sort tout un baratin comme quoi, avoir un arabe
docile à son service ferait beaucoup pour son image de marque.
Le Pen le regarde d'un oeil, lui dit finalement 'Pourquoi pas ?', et il lui fait
faire le tour du domaine...
Il l'emmène d'abord à la cuisine, immense. L'ARABE (sifflement admiratif) : Que
c'est grand, que c'est beau !
Ensuite, c'est le salon, immense avec des meubles de prix. L'ARABE (sifflement
admiratif) : Que c'est grand, que c'est beau ! (on peut varier bien sur, je
donne que les grandes lignes...)
Puis la chambre, avec un lit immense. L'ARABE (sifflement admiratif) : Que c'est
grand, que c'est beau !
... Puis la terrasse, avec une piscine, immense aussi. L'ARABE (sifflement
admiratif) : Que c'est grand, que c'est beau ! Quelle piscine ! ça donne envie
de se baigner !
Le Pen lui fait son célèbre sourire carnassier : 'mais va te baigner mon garçon,
je t'en prie !'
L'arabe va se changer, pendant que Le Pen met un crocodile dans la piscine.
L'arabe revient en slip, voit la piscine et le crocodile dedans.
L'ARABE (sifflement admiratif) : Dis donc ! Une Lacoste !
Posté par: arrabe de merde
note : 2.92 / 10
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42 - Absurdes - Adultère - Adultes - Africains - Alcoolisme - Allemands - Américains - Anglais - Animaux - Arabes - Argent - Armes - Automobilistes - Avarice - Belges - Blondes - Bouffe - Brunes - Bureau - Caca Pipi - Calembours - Célébrités - Chauves - Colère - Comble - Contrepèteries - Coquines - Corses - Débiles - Devinettes - Ecoliers - Ecossais - Envie - Farces - Fonctionnaires - Fous - Français - Gendarmes - Gourmandise - Gros - Handicapés - Horribles - Humour Noir - Informatique - Italiens - Jalousie - Jeux de Mots - Juifs - Luxure - Mariage - Marseillais - Medecin - Méprises - Mignonnes - Misanthropie - Monsieur et Madame Machin - Mysandrie - Mysoginie - Nazes - Orgueil - Paresse - Paysans - Politique - Portugais - Racistes - Rateaux - Religion - Sales - Sexy - Sport - Suisses - Ta Mère - Toto - Très Bonnes - Troupier - Vanité - Vengeance - Vieillesse -
C est quoi Ursus qui parle sur ce forum ?
C est un gros porc a qui on a volé le goûté en primaire assis derrière son écran et qui a la grande gueule
C est un gros porc a qui on a volé le goûté en primaire assis derrière son écran et qui a la grande gueule
Posté par: rollcana
note : 2.91 / 10
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Commentaire de rivibocte - 2017-11-16 14:31:23
Et si tu allais urSucer ton père ?
Ursus a fracassé plein d'arabes, y-compris en primaire, au point que ces lâches leur envoyaient leurs grands frères, n'étant pas assez costauds pour lui. La voilà la réalité. MDR
Ursus a fracassé plein d'arabes, y-compris en primaire, au point que ces lâches leur envoyaient leurs grands frères, n'étant pas assez costauds pour lui. La voilà la réalité. MDR
43 - Américains -
Un touriste américain visite la campagne palestinienne un jour de grande chaleur. Il est prêt à succomber, lorsqu'il arrive devant une charmante petite ferme à la porte de laquelle est assis un vieil homme qui fume le narguilé.
- Hello, pourriez-vous avoir la gentillesse de me donner boire.
- Bien sûr, entrez, je vous en prie. L'Américain entre, se désaltère, puis examine les lieux d'un oeil bienveillant :
- C'est mignon, chez vous. Et vous avez combien de terrain ?
- Oh, environ un quart d'hectare devant la maison et un petit jardin derrière.
- Moi, je suis du Texas, vous connaissez ? Quand je prend ma voiture le matin pour faire le tour de mes terres, je n'ai pas terminé le soir même !
Le vieux paysan palestienien réfléchit un long moment, en silence, avant de de répondre, et puis il compatit :
- Oui, moi aussi, j'ai déjà eu une vieille voiture comme ça ...
- Hello, pourriez-vous avoir la gentillesse de me donner boire.
- Bien sûr, entrez, je vous en prie. L'Américain entre, se désaltère, puis examine les lieux d'un oeil bienveillant :
- C'est mignon, chez vous. Et vous avez combien de terrain ?
- Oh, environ un quart d'hectare devant la maison et un petit jardin derrière.
- Moi, je suis du Texas, vous connaissez ? Quand je prend ma voiture le matin pour faire le tour de mes terres, je n'ai pas terminé le soir même !
Le vieux paysan palestienien réfléchit un long moment, en silence, avant de de répondre, et puis il compatit :
- Oui, moi aussi, j'ai déjà eu une vieille voiture comme ça ...
note : 2.89 / 10
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44 -
Une femme rencontre un très bel homme dans un bar. Ils parlent, se lient rapidement, partent ensemble.
Ils arrivent chez lui, il lui fait visiter son appartement, et elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours. Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur; les tout petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
La femme est surprise de savoir qu'il a une aussi grande collection d'ours en peluche. Elle ne montre pas son étonnement, mais elle reste étonnée de voir le côté sensible de cet homme. Elle se retourne vers lui... ils s'embrassent... et ils s'arrachent leurs habits mutuellement et font l'amour passionnément.
Ils sont couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard, après une nuit si intense en ébats et en émotions, puis la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant, "Alors, heureux?"
Et l'homme lui répond :
"Tu peux choisir n'importe quel lot sur l'étagère du bas."
Ils arrivent chez lui, il lui fait visiter son appartement, et elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours. Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur; les tout petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
La femme est surprise de savoir qu'il a une aussi grande collection d'ours en peluche. Elle ne montre pas son étonnement, mais elle reste étonnée de voir le côté sensible de cet homme. Elle se retourne vers lui... ils s'embrassent... et ils s'arrachent leurs habits mutuellement et font l'amour passionnément.
Ils sont couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard, après une nuit si intense en ébats et en émotions, puis la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant, "Alors, heureux?"
Et l'homme lui répond :
"Tu peux choisir n'importe quel lot sur l'étagère du bas."
note : 2.88 / 10
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45 - Américains -
Une Française, qui a épousé un cow-boy américain, lui dit, quelques jours après leur mariage :
- John, je sais bien que l'on ne conçoit pas de la même façon l'éducation des deux côtés de l'Atlantique :
Que vous mâchiez votre affreux chewing-gum à longueur de journée, je l'accepte.
Que vous me lanciez de grandes tapes sur les fesses, en m'appelant "Ma petite jument", je ne peux pas vous en empêcher.
Que vous gardiez vos bottes munies d'éperons pour faire l'amour, admettons-le encore.
Mais Dieu du ciel ! Je vous en prie :
Ôtez au moins votre cigare de votre bouche quand vous m'embrassez !
- John, je sais bien que l'on ne conçoit pas de la même façon l'éducation des deux côtés de l'Atlantique :
Que vous mâchiez votre affreux chewing-gum à longueur de journée, je l'accepte.
Que vous me lanciez de grandes tapes sur les fesses, en m'appelant "Ma petite jument", je ne peux pas vous en empêcher.
Que vous gardiez vos bottes munies d'éperons pour faire l'amour, admettons-le encore.
Mais Dieu du ciel ! Je vous en prie :
Ôtez au moins votre cigare de votre bouche quand vous m'embrassez !
Posté par: kenwat
note : 2.87 / 10
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L'art est beau quand la main, la tête et le coeur travaillent ensemble.[ John Ruskin ]
