« cote » |
| 95 blagues accessibles contenant « cote » |
56 - Débiles -
Dans une salle de classe un professeur pose la question suivante:quant deux verbes se suivent que devient le second?
un élève lève la main, alors le professeur l'interrogea:
il dit : "quant deux verbes se suivent, le second se met à coté pour ne pas bousculer l'autre.
un élève lève la main, alors le professeur l'interrogea:
il dit : "quant deux verbes se suivent, le second se met à coté pour ne pas bousculer l'autre.
Auteur: MARIAMA NDIAYE
Posté par: MARIAMA NDIAYE
Posté par: MARIAMA NDIAYE
note : 2.95 / 10
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57 - Medecin -
C'est une femme qui va chez le médecin.
- Docteur, (prout) chaque fois (prout) que je parle (prout) je (prout) pète. (prout).
Le Docteur quitte la salle de consultation et va dans la pièce d'à côté d'où il revient avec une longue tige métallique. La patiente demande:
- Docteur, (prout) est-ce (prout) que (prout) ça va me guérir? (prout)
- Non, non, c'est juste pour ouvrir la fenêtre.
- Docteur, (prout) chaque fois (prout) que je parle (prout) je (prout) pète. (prout).
Le Docteur quitte la salle de consultation et va dans la pièce d'à côté d'où il revient avec une longue tige métallique. La patiente demande:
- Docteur, (prout) est-ce (prout) que (prout) ça va me guérir? (prout)
- Non, non, c'est juste pour ouvrir la fenêtre.
note : 2.93 / 10
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58 -
Une femme rencontre un très bel homme dans un bar. Ils parlent, se lient rapidement, partent ensemble.
Ils arrivent chez lui, il lui fait visiter son appartement, et elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours. Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur; les tout petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
La femme est surprise de savoir qu'il a une aussi grande collection d'ours en peluche. Elle ne montre pas son étonnement, mais elle reste étonnée de voir le côté sensible de cet homme. Elle se retourne vers lui... ils s'embrassent... et ils s'arrachent leurs habits mutuellement et font l'amour passionnément.
Ils sont couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard, après une nuit si intense en ébats et en émotions, puis la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant, "Alors, heureux?"
Et l'homme lui répond :
"Tu peux choisir n'importe quel lot sur l'étagère du bas."
Ils arrivent chez lui, il lui fait visiter son appartement, et elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours. Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur; les tout petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
La femme est surprise de savoir qu'il a une aussi grande collection d'ours en peluche. Elle ne montre pas son étonnement, mais elle reste étonnée de voir le côté sensible de cet homme. Elle se retourne vers lui... ils s'embrassent... et ils s'arrachent leurs habits mutuellement et font l'amour passionnément.
Ils sont couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard, après une nuit si intense en ébats et en émotions, puis la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant, "Alors, heureux?"
Et l'homme lui répond :
"Tu peux choisir n'importe quel lot sur l'étagère du bas."
note : 2.88 / 10
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59 - Américains -
Une Française, qui a épousé un cow-boy américain, lui dit, quelques jours après leur mariage :
- John, je sais bien que l'on ne conçoit pas de la même façon l'éducation des deux côtés de l'Atlantique :
Que vous mâchiez votre affreux chewing-gum à longueur de journée, je l'accepte.
Que vous me lanciez de grandes tapes sur les fesses, en m'appelant "Ma petite jument", je ne peux pas vous en empêcher.
Que vous gardiez vos bottes munies d'éperons pour faire l'amour, admettons-le encore.
Mais Dieu du ciel ! Je vous en prie :
Ôtez au moins votre cigare de votre bouche quand vous m'embrassez !
- John, je sais bien que l'on ne conçoit pas de la même façon l'éducation des deux côtés de l'Atlantique :
Que vous mâchiez votre affreux chewing-gum à longueur de journée, je l'accepte.
Que vous me lanciez de grandes tapes sur les fesses, en m'appelant "Ma petite jument", je ne peux pas vous en empêcher.
Que vous gardiez vos bottes munies d'éperons pour faire l'amour, admettons-le encore.
Mais Dieu du ciel ! Je vous en prie :
Ôtez au moins votre cigare de votre bouche quand vous m'embrassez !
Posté par: kenwat
note : 2.87 / 10
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