16 blagues accessibles contenant « amant » |
1 -
Français -
Mariage -
Commentaire de amalek - 2014-05-27 20:06:58
Polygamie
Afin de ne pas être traité d'avoir trompé sa femme , il vaut mieux accepter de devenir
polygame.
age mini : 13
2 -
Absurdes -
Adultes -
Blondes -
Français -
Jeux de Mots -
Mariage -
Très Bonnes -
Cette blague est rendue illisible car elle n'est pas adaptée au jeune public, voir (*) en bas de page afin d'activer le contenu pour adultes.
A5près d2 m1 bl4nd2 q5'3l f13t b4n...
D25x bl4nd2s d3sc5t2nt d1ns 5n b1r.
L'5n2 d'2ll2s s'2xcl1m1!
- T5 v43s l2s d25x h4mm2s q53 v32nn2nt v2rs n45s?
c2l53 d2 dr43t2 2st m4n m1r3,l'15tr2 m4n 1m1nt.
- Q543? s'ét4nn1 l'15tr2.P45r m43 c'2st l2 c4ntr13r2!
Posté par: Amalek
5 -
Avarice -
Farces -
Luxure -
Religion -
Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.
Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l'armoire pour voir ce que sa mère fait avec cet homme-là.
Un moment plus tard, le mari rentre à l'improviste.
Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.
- le fils : fait sombre ici.
- l'amant : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai un ballon de foot
- l'homme : content pour toi
- le fils : tu veux l'acheter ?
- l'homme : non merci
- le fils : mon père est là dehors
- l'homme : ok, combien
- le fils : 250 euros
Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans l'armoire en compagnie de l'amant de sa mère
- le fils : fait sombre ici
- l'homme : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai des super baskets
- l'homme se rappelant la dernière fois grimace : combien ?
- le fils : 500 euros
Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets et prends ton ballon, on va faire une partie.
- le fils : je peux pas, j'ai tout vendu
- le père : pour combien
- le fils : 750 euros
- le père : c'est inadmissible d'arnaquer les gens comme ça. Ces affaires n'ont jamais coûté ce prix là. Je t'amène à l'église pour te confesser.
Le père amène son fils à l'église, le pousse dans le confessionnal et ferme la porte
- le fils : fait sombre ici
- le curé : merde, maintenant t'arrête tes conneries !