« affaires » |
| 33 blagues accessibles contenant « affaires » |
age mini : 10
21 - Absurdes - Célébrités - Jeux de Mots - Juifs - Politique - Racistes - Religion -
note : 3.34 / 10
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22 - Allemands - Orgueil - Vanité -
Deux hommes d'affaires américains rivalisent à propos de leur arbre généalogique :
- Un de mes ancêtres, dit le premier, a inscrit son nom au bas de la Déclaration d'Indépendance.
- Peuh ! Fait l'autre, en ricanant. Moi, c'est un de mes ancêtres qui a rédigé les Dix Commandements.
note : 2.75 / 10
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age mini : 12
23 - Sexy -
C'est une dame très élégante, qui prend l'avion et s'assied à côté d'un homme d'affaire... l'avion démarre, et le gars sort son sexe, et commence à travailler. La dame outrée par cette acte regarde l'homme, choquée ... L'homme sort son mouchoir essuie le tout, le remet dans sa poche, et sort une cigarette, il regarde la dame et lui lance est ce que la cigarette vous dérange ?
Posté par: mobijones
note : 2.74 / 10
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24 - Informatique -
Trois anciens amis se rencontrent à nouveau et évidemment, c'est du genre : "Qu'est-ce que tu deviens maintenant ?", "Qu'est-ce que tu fais comme job", etc.
Le premier dit :
- Ben moi, j'ai repris la petite épicerie de mon père. Je l'ai développée et ça marche pas trop mal. C'est pas encore Auchan mais c'est une belle épicerie.
- Moi, dit le second, j'ai repris la petite quincaillerie de mon père.
Je l'ai développée et j'en suis très content. C'est pas encore comme chez Carrefour, mais c'est une belle quincaillerie.
- Eh ben moi, fait le troisième, si vos souvenirs sont bons, vous vous rappelez certainement que mon père était souteneur et qu'il faisait
travailler plusieurs filles sur le trottoir. J'ai repris l'affaire et je l'ai développée. C'est pas encore comme chez Microsoft, mais c'est un beau bordel quand même.
Le premier dit :
- Ben moi, j'ai repris la petite épicerie de mon père. Je l'ai développée et ça marche pas trop mal. C'est pas encore Auchan mais c'est une belle épicerie.
- Moi, dit le second, j'ai repris la petite quincaillerie de mon père.
Je l'ai développée et j'en suis très content. C'est pas encore comme chez Carrefour, mais c'est une belle quincaillerie.
- Eh ben moi, fait le troisième, si vos souvenirs sont bons, vous vous rappelez certainement que mon père était souteneur et qu'il faisait
travailler plusieurs filles sur le trottoir. J'ai repris l'affaire et je l'ai développée. C'est pas encore comme chez Microsoft, mais c'est un beau bordel quand même.
note : 2.71 / 10
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25 - Adultes - Luxure -
Un soir le mari demande à sa femme :
- Chérie, nous n'avons jamais fait ça, mais j'aimerai te sodomiser.
La femme, s'offusque :
"- Pas question. Tu peux courir. Pas de ça avec moi.
Le mari n'insiste pas. Mais recommence le lendemain soir :
"- Chérie, s'il te plaît, laisse-moi faire..."
La femme : "- Non, il n'en est pas question. Je veux bien faire l'amour mais ce sera comme tout les gens normaux"
Le troisième soir le mari revient à la charge :
"- Mon coeur, je t'en prie, laisse-toi faire, je te promets de ne pas te faire de mal."
Finalement, la femme excédée accepte. Son mari commence donc son affaire et la sodomise jusqu'à l'orgasme. A la fin, la femme, qui n'a finalement pas détesté ça se retourne vers son mari et lui dit :
- Alors, tu es content maintenant ?
Le mari ne répond pas.
La femme insiste.
Le mari, le nez dans son oreiller, lui répond alors :
"- Je parle pas aux enculées !
- Chérie, nous n'avons jamais fait ça, mais j'aimerai te sodomiser.
La femme, s'offusque :
"- Pas question. Tu peux courir. Pas de ça avec moi.
Le mari n'insiste pas. Mais recommence le lendemain soir :
"- Chérie, s'il te plaît, laisse-moi faire..."
La femme : "- Non, il n'en est pas question. Je veux bien faire l'amour mais ce sera comme tout les gens normaux"
Le troisième soir le mari revient à la charge :
"- Mon coeur, je t'en prie, laisse-toi faire, je te promets de ne pas te faire de mal."
Finalement, la femme excédée accepte. Son mari commence donc son affaire et la sodomise jusqu'à l'orgasme. A la fin, la femme, qui n'a finalement pas détesté ça se retourne vers son mari et lui dit :
- Alors, tu es content maintenant ?
Le mari ne répond pas.
La femme insiste.
Le mari, le nez dans son oreiller, lui répond alors :
"- Je parle pas aux enculées !
Posté par: Rémy_B
note : 2.65 / 10
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